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Shayde
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Amour : Je pourrais aimer mais je préfère haïr.
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MessageSujet: Tests x)   Tests x) EmptyMer 11 Juin à 7:03



Dernière édition par Shayde le Mer 11 Juin à 7:18, édité 2 fois
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Shayde
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Amour : Je pourrais aimer mais je préfère haïr.
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MessageSujet: Re: Tests x)   Tests x) EmptyMer 11 Juin à 7:05

    " This funeral bell and it's sacred sound
    Haunting always and no more peace
    Nor redemption, but moribund ecstasy..."






    ~~ Identité ~~




    ¤ Nom : Lestat

    ---

    ¤ Prénom : Gabrielle [ Ironie ? ]

    ---

    ¤ Surnoms : Gaby, Gabie, mais en général, on évite de l'apeller autrement que par son prénom, elle n'aime pas ça.

    ---

    ¤ Âge : 19 ans, ou quelque chose dans ces eaux-là...

    ---

    ¤ Nationalité : Française

    ---

    ¤ Sexualité : Necropédophile. Eumh, nan... Ca dépends du degrès d'alcool dans son sang





    ~~ Physique ~~




    ¤ Physique : Gabrielle n'est pas belle à proprement parler [ Oui, ça change des Tops-Models récurrent de toutes les présentations que j'ai pu lire ] . Elle à son charme, à condition d'aimer les putes du siècle dernier maquillées à la truelle, donc, c'est bien ce que je dis, elle n'est pas mignonne. Si elle avait une quelconque envie de plaire, elle pourrait être à peu près jolie. Mais elle en a rien à foutre du regard des autres, alors elle garde son apparence agressive et déplaisante. Haute de son mètre 76, elle ne serait pas excessivement grande si elle n'avait pas perpetuellement des talons d'une dizaine de centimètres. Tournant dans la soixantaine de kilos [ 60kg, vous avez vu ? Ca change, elle est pas anorexique \o/ ], elle reste mince, pourtant musclée.

    Gaby, c'est une silhouette en fil de fer, des courbes généreuses misent en valeur par un déhanchement naturel ou une tendance à cambrer le dos. Elle à un visage aux traits durs, taillés à la serpe, des pomettes hautes et un air méprisant et froid. Ses cheveux d'un blond pisseux [ Faut être honnête, quoi, sont pas platines ou vénitiens ] lui retombent sur les épaules, négligemment attachés d'un ruban. Mais ce qui attire irrésistiblement l'attention, ce sont ses yeux. Leur vert artificiel est du aux lentilles de couleur qu'elle porte. Non pas qu'elle cherche à se voiler la réalité, mais plus qu'elle refuse qu'on lise au fond de ses prunelles des pensées enfouies. Quand on croise son regard, la première impression que l'on a, c'est une dureté glacial, distance méprisante et acérée, mais, si l'on à le courage de soutenir cette aura malsaine et agressive, c'est une flamme brûlante qui luit dans ses yeux, un défi moqueur qui réchauffe sans satisfaire son coeur de pierre. Comme pour beaucoup de personne, le seul regard apprend ce qu'il y a à savoir ; ce qu'est Gaby se définit au rictus narquois qu'elle affiche, à l'impression glauque et effrayante qu'elle dégage.

    Car au-delà de la description physique, une personne se caractérise par ce qu'elle dégage. Et la blonde n'est que haine et suffisance, dégout et agressivité. On le sent, on le ressent lorsqu'on la voit, qu'importe ses vêtements, qu'importe ses cicatrices, c'est quelque chose qui ne se voit pas, mais qui percute l'esprit avec la précision d'une flèche, qui vous rentre dans la cervelle, vous fait comprendre qu'il faut changer de trottoir. Gaby à une gueule à faire pleurer les morveux et à faire fuir mamie gateuse, on ne la cherche pas, on sent qu'elle se servirai de votre front pour faire des percussions sur le goudron [ humour - -" ]. Il y a des gens comme ça, ceux qui cachent leur jeu et ceux qui s'affichent. Elle fait partie de la dernière catégorie. Mais je m'égare, je parle d'impression psychologique et oublie la descritpion physique.

    Elle à une peau très blanche, blème, presque exsangue. Pas la paleur qui fait ressortir la pureté, mais un teint blafard et maladif qui souligne le maquillage excessif de ses yeux et fait ressortir leur éclat surnaturel. Son omoplate est taouée d'une croix renversée, visible et ostentatoire. Les bras couverts de cicatrices, souvenirs douloureux de quelques épisodes de sa vie. Hématomes dans le creux du coude et poignets tailladés ; explications inutiles. Son dos aussi est orné de boursouflures épaisses, et on devine sous les plaies la forme d'un pentagramme retourné, gravé au couteau. Le reste de sa chair est en revanche vierge, et elle ne gène pour pour en découvrir les courbes.

    ---

    ¤ Style vestimentaire : Le style vestimentaire de Gabrielle pourrait se résumer en un seul mot : provocation. Un peu comme les filles dans les clips de Marilyn Manson [ Comment ça, vous regardez pas les clips de MM ? Bah c'est bien, vous vous protégez d'une certaine forme de décadence. ]A la limite de l'indécence, elle affectionne les portes-jaretelles apparents et les résilles sous une minijupe. Quelqu'un à l'esprit étroit dirait qu'elle s'habille comme une pute, quelqu'un à l'intelligence pointue dirait que ses vêtements sont ceux d'une fille de joie [ Ah ah, très drôle, elle est où la différence ? ]. Des décolettés trop plongeant, de la peau blanche et nue. C'est une éspèce de gothique version pouff', et en trash [ Trash veut dire ordure, pour votre information personnelle ]. Si le noir reste la couleur dominante de ses vêtement, on la retrouve parfois avec un rose pétant ou un magnifique incarnat sanglant. Elle porte toujours des pointes quelques parts ; bracelets, colliers, ceintures, elle apprécie particulièrement tout ce qui peut blesser. Point de vue chaussure, ça se résume à New Rocks, Demonias, voir quelques Pleasers lorsqu'elle a envie de se ramener avec des talons aiguilles d'une quinzaine de centimètre. On la retrouve souvent avec des corsets très osés, des jupes fendues jusqu'au cul et tout ce qui est sangles, clous, dentelle ou cuir. Elle pourrai en faire baver plus d'un [ Avec ses "vêtements", pas sa beauté naturelle ], mais son air revêche décourage la plupart des gens. Et ceux qui ne reculent pas finissent souvent avec quelques dents en moins ou une arcade fendue.

    Elle cache toujours dans un plis ou contre sa chair quelques couteaux, armes dont elle ne se sépare jamais. C'est pas vraiment vestimentaire, mais je précise [ Et tant pis si ça ne vous apporte rien ]. Elle a toujours un poignard d'une trentaine de centimètre, une de ces armes que l'on ne voit plus que dans les vitrines de collectionneurs ; le pommeau et la garde finement travaillés, un équilibre parfait et un tranchant irréprochable. A côté, c'est son bon vieux couteau Spyderco à lame crantée : presque aussi efficace même si beaucoup plus maniable [ Bah ouais, c'est plus petit - -" ] et discret. Et finalement, une simple lame, entre les deux précédentes, moins efficace que le poignard, plus effilée que le couteau, pratique pour la lancer entre les omoplates de quelqu'un.

    ---

    ¤ Signes particuliers : Son style est à lui-même une tâche dans la foule. Mais plus précisement, on peut souligner le vert de ses yeux, la croix tatouée sur son épaule. Elle est également recouverte de nombreuses cicatrices sur les bras et dans le dos, derrière lesquelles apparaissent la forme floue d'u pentagramme. Elle à également un corps souple et laisse deviner à ses mouvement fluide une maîtrise quasi-parfaite des arts martiaux. Car oui, c'est un signe particulier que de savoir se battre, maintenant il n'y a plus que des lardons blasé, dont les mains ne servent plus qu'à se branler devant un mauvais porno [ Je parle des mecs là, mais les femmes, ce n'est guère mieux ] En fait, elle n'a pas vraiment de signes particulier, puisque tout ce qui est original chez les autres parait ternes chez elle. Trop différente pour entrer dans les boîtes prédéfinies par la société.




    ~~ Personnalité ~~



    ¤ Qualités & Défauts [ ou plutôt Caractère ] : Folle ? Sans doute. Pas cette folie représentée par la crainte pudique d'un entonnoir sur la tête ou de chaussons en papier. Non, une réelle démence, esprit conditionné différement, idéaux opposés. Latente et silencieuse, insidueuse comme le venin d'un serpent. Ses capacitées mentales ne sont pas altérées, loin de là, Gaby à seulement une manière différente de réfléchir, une manière différente de s'amuser. Sujet récurent sur les tables de controverses psychologique, nait-on ou devient-on sociopathe. D'après Thomas Harris, Hannibal l'est devenu suite à une malheureuse suite de circonstance, Gabrielle semble au contraire avoir developpé ce trait dominant de son caractère dès l'enfance.

    Car pour définir son profil, deux mots suffisent , à condition d'en mesurer l'étendue à leur juste et basse valeur. Sociopathe, psycopathe. Ce n'est pas la tueuse en série, c'est uniquement quelqu'un qui se repait de la souffrance des autres, qu'elle soit physique ou morale. Cela suffit à la faire entrer dans ces catégories, sans qu'elle n'en devienne un modèle d'appronfondissement. Elle tire une jubilation malsaine de la douleur, un plaisir sadique à faire mal, à voir du sang, à voir des larmes. Son attitude peut s'expliquer à cette seule constatation, mais il serait rédhibitoire de s'arrêter à cette approche superficielle de son caractère si complexe, et pourtant tourné de façon à rendre malade celui qui voudrait faire son profil. Elle n'a pas eu la même enfance, ni le même regard sur la vie que les autres. Elle n'a pas les mêmes valeurs que la majorité des gens. Fondamentalement mauvaise, elle a un jugement différent. Et si diamétralement opposé qu'il en devient dérangeant et donc, forcément condamnable par la société. Pour celà, récapitulons 7 points de son caractère, utilisant des charnières que vous connaissez sûrement.

    L'orgueil : Ce qui fait que Gaby te hait, qu'elle te méprise et s'aime par dessus tout. Dédaigneuse, narquoise, sarcastique, hautaine, suffisante, supérieure, arrogante, orgueilleuse, fière ; toute cette liste ne suffit pas à entrevoir la taille de l'ego de la Miss. Elle ne s'interesse qu'à elle-même, aucune remarque, rien ne pourrait ébranler ses décisions. Elle se contrefout de l'avis des autres, alors les autres ferment leurs gueules. C'est aussi simple que ça, du moins dans son esprit. Et de ce fait, elle fait preuve d'une supériorité écrasante, teintée d'une condescance moqueuse, d'une complaisance ironique. Ce n'est même pas de la pitié, c'est un peu plus bas pour vous. Dégoulinante d'une fierté mal placée, elle en devient froide et distante. Elle pousse ce vice si loin, qu'aucune critique ne pourrait entaché son orgueil, puisque la seule personne à qui elle accorde de l'importance, c'est elle-même. Vous êtes une sous-merde, cherchez pas, elle vous méprise.

    L'envie : Aussi comunement appelée jalousie, ce n'est pas un péché qu'elle cultive, mais c'est un trait de son caractère qui ressort désagréablement de ses conversation. Elle n'envie pas votre intelligence, votre beauté ou votre tact, ce serait comme vous considérer au-dessus d'elle. Ses désirs sont uniquement matériels, des biens, objets qu'elle ne peut pas s'offrir, du moins qu'elle ne peut pas voler. Elle ne convoite pas quelqu'un pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il a. Et si cette personne à vraiment quelque chose qui l'interesse, elle fera tout pour l'obtenir. Gaby n'envie pas la joie des gens, mais elle aime casser leur bonheur.

    La colère : Gaby est quelqu'un qu'on ne met pas facilement en colère. Faisant preuve d'un sang-froid inaltérable, vous pouvez toujours lui balancer des horreurs à la gueule, seul un sourire sarcastique vous y répondra. Une maîtrise totale, parfaite de ses émotions, de ses réactions ; un peu comme ces maîtres tibétains qui sont capable de contrôler les battements de leur coeur, elle domine ses sentiments. Mais si vous arrivez à l'énerver, si vous dépasser des frontières qu'il aurait mieux valu respecter, alors, vous allez souffrir. Si on la pousse à bout, si on joue sur ses nerfs, sa vengeance est destructrice. Tout ce qu'il y a de plus sournois, de plus dégueulasse, elle vous le fera. Le genre de fille à vous mettre de l'arsenic dans votre verre ou mettre de l'acide entre vos draps. Vous pairez au centuple, elle ne lâche pas le morceau. Aucune limites, aucun code d'honneur, acharnée et prête à tout. Non, simple conseil, évitez de l'énerver.

    L'avarice : Alors, vous pouvez tous crever la gueule ouverte pour qu'elle donne quelque chose. Elle ne partage rien, ni sa bouffe, ni ses biens, ni ses informations ; la seule chose qu'elle offre, ce sont les remarques acides et les aller-retours dans la face. On vient la voir avec un grand sourire pour lui demander poliment où sont les toilettes, elle vous répondra d'aller vous faire foutre. On lui demande si on peut emprunter son briquet, la réponse sera la même. En revanche, elle n'aime pas que ce soit les autres qui lui lance ce genre de réparties. Elle a peu de biens matériels, mais ceux qu'elle a, elle les garde. Elle pousse parfois l'avarice au point de ne pas répondre pour ne pas utiliser sa salive pour les autres. De toute façon, il faudrait être bien con pour croire que quelqu'un comme elle soit généreux.

    Paresse : Si paresse signifie ne rien faire de constructif de ses journées, ne pas aller en cours, ne pas chercher la compagnie, ne pas sortir le soir et ne jamais travailler, alors oui, elle est paresseuse. Pourtant, ce n'est pas quelqu'un de laxiste ou qui se laisse vivre. C'est plutôt quelqu'un qui s'économise pour les choses importante. Ce n'est pas une boule d'énergie hyperactive qui se précipite dès qu'il faut travailler. Calme et sereine, elle fait le minimum, mais elle le fait bien. Elle peut s'allonger sur son lit et passer une journée à rien foutre, les yeux fixés sur le plafond, se contentant de réfléchir. Elle ne travaille pas, ni en classe ni à l'extérieur. Si elle à besoin d'un quelconque produit, elle le vole, c'est bien moins fatiguant.

    Luxure : Ca ne caractérise Gaby qu'à moitié. Elle ne dissocie pas douleur et plaisir, fait rimer jouissance et souffrance. Sado-mazo, et pas que sur les bords ; elle préfère comme plaisir de la chair, une lame sur une peau nue. Chacun son truc après tout. Dans le genre malsain, c'est parfait, elle aime bien le fouet et les faux ongles [ Comme moi *sors* ]. Mais en dehors de ça, elle est aussi capable d'avoir une sexualité normale, même si ça l'interesse moins. Dépucelée très jeune, elle à eu le temps d'acquérir de l'expérience en la matière. Mais bon, c'est pas quelque chose qu'elle applique souvent, elle prêche l'abstinence [ Ironie, peut-être ? ]

    Gourmandise : Tient, autre plaisir de la chair. Mais gourmande, Gaby ne l'est pas. En réalité, elle bouffe pas grand chose, si elle n'est pas maigre, c'est qu'elle à du muscle. [ Et tout le monde sait que le muscle pèse plus lourd que la graisse x) ] . En revanche, on peut critiquer ses consommations. Pour parler de la plus récurrente chez les jeunes de nos jours, l'alcool. Elle s'est saoulée tant de fois, s'est bourrée la gueule avec une telle régularité qu'elle le supporte très bien. Si elle avait que ça à faire, elle pourrait faire des concours de celui qui boit le plus. Sur qu'à une certaine quantité, elle commence à faire des conneries, mais il en faut. Dans le même registre, elle se pique à l'héroïne. Dépendante ? Si on veut, elle à fait plusieurs sevrage, se trouve actuellement dans un état instable mais dont le statu quo lui permet de ne pas sombrer.


Dernière édition par Shayde le Mar 5 Aoû à 10:32, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Tests x)   Tests x) EmptySam 2 Aoû à 11:41

    Bon, c'est bien de définir quelqu'un d'après les sept péchés capitaux [ Ne me dîtes pas que vous ne les avez pas reconnus ], mais ça ne suffit pas, loin de là. Bien qu'ayant tracé l'esquisse d'un dessin qui, finit, ressemblera à une caricature macabre, c'est loin de prouver la complexité de la personnalité de Gaby. C'est seulement une approche. Mauvaise, vous l'avez sans doute compris à moins d'être un attardé profond. Haïssable, et haineuse, agressive et méprisante, moqueuse et suffisante. Pas quelqu'un de fréquentable, pour faire court.

    Croire que, parce qu'elle est méchante, elle est débile, serait se tromper sur toute la ligne. S'écraser complétement à côté de la plaque. Gaby est intelligente, c'est quelqu'un au QI plus élevé que la moyenne mais qui l'utilise pour semer la douleur plutôt que pour prêcher la bonne parole et les sciences. Elle n'a pas de capacités scolaires, elle a abandonné le cursus avant la fin du primaire, je vous laisse imaginer le gouffre qu'est son savoir. Pas de culture générale, aucune connaissance de l'histoire, de l'art, des algèbres mathématiques ou de de la cinétique chimique. Mais pour moi, ce n'est pas ça qui forge l'intelligence. C'est la capacité de reflexion qui permet de juger l'état des neurones de quelqu'un. Et Gaby passe son temps à calculer, à émettre des possibilités. Comme un joueur d'échecs, elle devine les prochaines réactions de son interlocuteur et s'y adapte avec pragmatisme. Souvent pensive, arpentant les méandres de son esprit, elle suit le cheminement complexe et théorique de ses propres conclusions. Froide et calculatrice, elle manipule avec une déconcertante facilité. Car non, j'insiste dessus, ce n'est pas une personne obtuse et abrutie. Elle réfléchie avant d'agir, loin de l'impulsivité brutale de quelques instincts primaires, instincts qui se retrouvent malheureusement de plus en plus chez les jeunes de nos jours. Tactique et maligne, d'une inteligence pointue et acérée, elle devine le mensonge, elle lit dans la moindre attitude, l'imperceptible mouvement.

    Elle peut avoir un language très chatié comme argotique. Importante étendue, au sens mathématique, puisqu'elle viens d'un endroit où face de bite [ C'est laid que ça en peut plus ] ressort plus souvent que malséant béotien [ Expression tout aussi con que la précédente quand on y réfléchi bien ]. Parenthèses mises à part, c'est quelqu'un qui surprend souvent dans ses tournures de phrases, que ce soit d'un extrème à l'autre. Elle insulte et manie la répartie avec une habilité née de l'habitude, toujours cinglante et froide. En général, elle se débrouille bien pour faire taire les gens. Après se pose un choix, les planter là où les détruire à coup de remarques assassines jusqu'à ce qu'ils s'effondre, animal aux jarrets coupés. Elle ocsille souvent entre ces deux possibilitées.

    Elle est lapidaire. Dans tout les sens du terme [ enfin presque, elle s'amuse pas à lancer des cailloux sur les passants ], agressive dans ses propos, dégueulant sa rancoeur avec amertume ou acidité. Remarques haineuses, insultes et reflexions glacées. Toujours à critiquer, à attaquer verbalement les personnes qu'elle croise. Ce n'est même plus pour s'amuser, c'est pour ne pas s'emmerder. Elle s'occupe en injuriant, en humiliant ou invectivant les personnes qu'elle croise. Deversement de fiel, vomissure de haine, dégueuli d'amertume.

    Cette agressivité est gratuite, au sens où rien n'induit ni n'appelle sa venue. On ne lui a jamais rien fait, mais ça à un sens pour elle. C'est quelqu'un de las, qui à déjà vu en quelques années plus que la majorité verront en une vie entière. Alors, elle s'occupe comme elle peut. S'attaquer aux autres est un passe temps comme le canevas l'est pour d'autre. En général, ça à l'unique but de la distraire quelques instants, mais parfois elle tombe sur quelqu'un d'intéressant.

    Car elle s'intéresse au caractère des gens, autant que quelque chose peut l'intéresser. Elle a besoin d'alliés, et elles les trouvent parmi les gens dont la personnalité mérite de s'y arrêter. L'insipidité la rebute, la différence l'attire vaguement. Elle est encore capable d'apprécier certaines choses de la vie. Les autres élèves ne lui servent en général que de passe temps, mais lors de ces éternelles railleries, elle peut trouver celui qui l'interesse. A la limite, une relation d'amitié peut se developper. Amour, non, elle ne croit qu'en l'amour physique, et il faudrait plus que Cupidon, Eros et Aphrodite pour lui faire changer d'avis. Rare sont ceux qui peuvent prétendre avoir intéressé Gaby, elle est elitiste sur ses fréquentations. Mais de toute façon, je ne vois pas l'honneur de s'être fait accepter par le rebut qu'elle est. C'est pas glorieux, elle n'affectionne que les gens aussi tordus qu'elle.

    C'est quelqu'un de cruel, de sadique, qui prend plaisir à la souffrance des autres. Seul plaisir qu'elle a encore. Tout d'une prédatrice carnassière. Très portée sur le sang, elle aime son gout, elle aime le voir couler. Pas bien dans sa tête, elle fait une fixation morbide sur tout ce qui s'y rapproche. C'est quelqu'un de mauvais, avec un fond crasseux, et malsain, répugnante et écoeurante. On ne la fréquente pas. Elle vit dans un univers glauque, voit le monde à travers un voile différent. Brutale, voire bourrine dans ses mots, elle peut même être violente physiquement. Crue et cinglante, ses discutions ne sont pas tendre. Pas le genre à mettre des fleurs autour de la bulle. Vous êtes con, elle vous le dit. Merde.

    Mais ses discussions peuvent prendre une tournure différente de l'agressivité. Car parmi ses occupations favorites : le foutage de gueule. C'est une fille tout ce qu'il y a de plus moqueur, de plus insolent. Totalement irréspectieuse. Ironique, elle appuie sur le bat qui blesse tout comme son cynisme peut être devastateur. Caustique et railleuse, c'est dans ces moment là qu'elle est à baffer. Méchamment provocante. Sarcastique et impertinente, qu'elle parle à un membre de l'administration ou à un mioche de 8 ans, là n'est pas le problème. On ne se refait pas, glaciale et distante, toujours prête à rabattre le caquet d'un importun.

    Non seulement capable de pousser les gens à bout, elle est apte à les recevoir. Elle manie les armes blanches avec une dextérité impressionnante et garde d'excellent restes de son apprentissage des arts martiaux. Ce n'est pas parfait, mais c'est largement au-delà de la moyenne. Avant, elle n'avait pas le choix, il fallait savoir se défendre. Alors elle a appris, et si le corps à corps n'est pas son domaine de prédilection, elle se sert des lames courtes avec une facilité et une maîtrise déconcertante. En fait, c'est un peu la seule chose qu'elle sait faire, mais au moins, elle le fait bien. De toute façon, elle n'a pas besoin de plus pour massacrer ceux qui l'embête.

    Egocentrique et ethnocentrique, elle est tout ce qu'il y a de plus rasciste. Pas au sens couleur de peau mais elle croit à l'élitisme. Certains sont supérieur à d'autre, personne n'est égal, il y a les forts et les faibles [ évidemment, elle fait partie des forts ]. Cela peut rejoindre une façon de penser plus ou moins sataniste. Elle n'est pas une adoratrice de Satan, elle ne croit en l'existence d'aucune force supérieur, mais aime beaucoup tous les signes qui s'y ratache, la symbolique. Puis le regard ulcéré ou fuyant des gens qui voient son dos ou la croix renversé tatouée. C'est par pur esprit de provocation, mais elle est quand même du genre à allumé des bougies et faire un sacrifice. Juste pour déconner... Ou pas. Mais elle méprise les religions, trouve que ce ne sont que des aberations que seuls les plus cons peuvent croire. L'action entraîne la réaction et il n'y a rien de divin là-dedans. Ne nous éternisons pas sur le sujet, elle pourrait cracher ses opinions longtemps sur la faiblesse d'esprit des croyants.

    Pour rester dans le chapitre convitcion, Gabrielle est quelqu'un qui va au bout des choses. Pas le genre à abandonner en cours de route, à se fatiguer. Quand elle a une idée en tête, elle ne l'a pas dans le cul comme on dit. Determinée ; elle n'a rien à perdre alors ça lui coute pas grand chose de s'investir. C'est quelqu'un de lâche, qui n'a aucun code d'honneur, aucun sens de la fidélité non plus d'ailleurs. Franchement, elle a rien à prouver à personne, elle ne va pas affronter le danger alors qu'il est si simple de l'éviter. Au contraire, elle préfère frapper dans le dos, elle à plus de chance d'atteindre sa cible. S'attaquer à plus jeune ou sans défense ne lui posera pas de problème non plus.

    Contrairement à ce que l'on pourrait penser, elle est maniaque. Un TOC [ Trouble Obssessionnel Compulsif, s'pèce d'incultes ] et un vrai. Mais seulement avec ses affaires et accessoirement son esprit. Structurée qu'elle en peu plus, tout a sa place. Sa mémoire est organisée, catégorisée. Elle a aussi des compulsions cognitives, une vague tendance à faire de la syllogomanie et pour finir sur les TOC, elle rumine des questionnements méta-physiques permanents. Les derniers cités ne sont que des esquisses, rien à voir avec le maniaque dont elle peut faire preuve. Mais ça donne quand même une idée de l'instabilité de la personne.

    Impitoyable, c'est pas le genre à avoir des remords sur ses actes. De toute façon, elle réfléchi avant d'agir et n'agit pour ainsi dire jamais sous le coup de l'impulsivité. C'est un profil agressif, capable de se défendre avec acharnement. Mais c'est aussi une mauvaise perdante, qui ne supporte pas d'avoir tord. Même lorsqu'elle se rend compte de son erreur, elle n'avouera pas sa faute. Et inutile d'insister, elle trouverai un moyen physique de vous faire taire. Radine et egoïste, bien sur. Sado la plupart du temps, ses humeurs de mazoschistes sont devenues rares avec le temps. De toute façon, revez pas trop, c'est pas voux qui la toucherez. Elle n'a pas de coeur, même pas de pierre. Elle ne s'attache pas aux gens, à moins d'y trouver un interet. Elle ne fait pas les choses sans raisons, pas d'acte généreux ni magnanime. Tout doit apporté profit. Gaby est mécanique et a quelque chose d'effrayant ; elle n'a jamais peur. Ni de la mort, ni de l'amoire à glace qui va lui taper dessus. Elle ne doute jamais et se fait confiance, raison de son assurance et sa morgue. C'est un poison à plusieurs face, celui effilé de la lame comme celui dévastateur du vitriol.

    Gaby... Vous pensez que ce pavé vous suffira à la connaître ? Oh que non... Mais je m'arrête là. C'est quelqu'un d'haïssable, vous n'avez que ça à retenir. C'est vous la croisez, de toute façon, vous comprendrez votre douleur...

    ---

    ¤ Relation avec les autres groupes : Peu importe le groupe des personnes qu'elle rencontre, de toute façon, la jeune femme n'aura toujours qu'antipathie à leur égard. Elle-même est à cheval entre deux opposés [ gothisme - racaille ] ; qu'est ce qu'un groupe pourrait signifier pour elle ? Elle à passé le cap des boîtes cartonnés où l'on catégorise les gens, les étiquettes collées sur le front.
    Mais en général, elle trouve les modes superficielles et initeressantes ; le genre de filles stupides et gloussantes qui pètent plus haut que leur cul. Les poms-poms girls sont encore plus niaises, complétement gourdes et maniérées. Les gothiques sont ternes, enfermés dans leur noirceur - souvent dépressive - qui les empèche de voir la réalité des choses ; à essayer de se différencier par un look ridicule pour combler le grand vide intersidéral que sont leurs pseudo-reflexions philosophiques. Les sportifs sont carrément naïfs et pensent que le monde est réglé par le même fair-play stupide que leurs match, ils ne voient même pas le bout de leur nez rendu graisseux par la sueur de leur sport. Les originaux ne sont digne que de mépris, ils ne sont rien, justes les quelques rebuts qui ne peuvent se mêler à la crasse d'aucun autre groupe et obligé de rassembler leurs ordures sous une étiquette pompeuse et misérable. Reste encore les punks qui tente désésperement de se démarquer avec un look tout aussi ridicule que les gothiques, sauf qu'eux, ils braillent en soirée, parlent fort pour qu'on les remarques et écoutent tous la même musique sois-disant de rebel. Les skateurs sont eux complétement à côté de la plaque, ils vivent avec des oeillères dans leur petit monde peints en couleurs urbaines avec des planches à roulettes pour seuls dieus. Et finalement les racailles, qui s'y croivent complétement alors qu'ils sont tout aussi lamentables que les autres ; des gueules de cons avec des lardons qui se battent en duels dans l'espace rétréci de leur crane. Nan, pour faire court, elle crache sur tous les groupes, sans exception, et aura du mal à dire le plus pitoyable d'entre tous.

    ---

    ¤ Ce qu'elle aime/déteste : Elle aime... Elle aime l'orage, la tempête. Le tonnerre qui éclate, l'éclair qui fend l'horizon, le vent et la pluie sur son visage. Elle aime la nuit, l'obscurité et les ténèbres profondes, celles où l'on ne voit pas qui est là, où l'on peut seulement ressentir. Elle aime le gout du sang, le sensation glacial de l'acier qui déchire la chair. Dans le sens mazoschiste du terme, évidemment ; le plaisir associé à la douleur... Elle aime lire la peur et la crainte dans les yeux des gens, se délecter silencieusement de leur angoisse. Elle aime la relative euphorie provoquée par la drogue, l'absence qu'elle entraîne. Elle joue avec les sentiments, manipule les gens. C'est très jouissif de dominer, de voir la soumission de quelqu'un, nan ? Elle aime emmerder le monde, lancer des remarques acides jusqu'à ce que l'autre cède, s'effondre, ou s'énèrve tout seul. Elle aime la solitude, le silence, la haine. Fascinée par les armes blanches, obsédée par la douleur et la souffrance...

    Elle déteste... Elle déteste le vacarme, les sons suraigües et l'agitation inutile. Elle déteste les plages de sable blanc, et n'apprécie de toute manière pas spécialement la mer ou l'océan. Elle déteste la foule, le fait de se sentir submergé et cerner par des moutons consomateurs ; elle évite les centres commerciaux et autres lieux bondés de ce genre. Elle a du mal avec les chaleurs trop importante, supportant difficilement la canicule. Elle n'aime pas les autres, les gens. Elle ne supporte pas qu'on l'embête, qu'on la dérange, qu'on lui parle pour ne rien dire. Si il y a une chose qui l'insupporte, c'est qu'on lui fasse la morale. Elle déteste aussi la lâcheté alors qu'elle en est le modèle parfait, ni ceux qui se croient supérieur - normal, c'est elle qui est au-dessus. Elle aime pas la bouffe - ca lui donne envie de dégueuler, ni la musique actuelle - seulement du classique. Elle déteste les religions et les croyances...


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    ¤ Vos projets futurs : Tueuse à gage. Non, je plaisante. Elle ne supporterai pas d'être tributaire de quelqu'un. Elle préfère travailler pour son propre compte.




Dernière édition par Shayde le Mar 5 Aoû à 10:33, édité 1 fois
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Shayde
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MessageSujet: Re: Tests x)   Tests x) EmptyMar 5 Aoû à 7:28

    ~~ Informations personnelles ~~



    ¤ Histoire : Elle n'a pas une histoire malheureuse, elle a une histoire crasseuse. Un de ces passés fragmentés, trainant dans les ordures de la misère et de la connerie humaine. Une vie somme toute banale, comparable à tant d'autre... Moche ? Oui, mais pas unique... Pas de tueur en série, juste des psycopathe à plein temps. Mais de toute façon, il existe des endroits sordides partout, et la [sur]vie qu'on y mène est dégueulasse mais pas exceptionelle.

    Sa mère était une belle femme, aux yeux gris et tristes, nostalgiques d'une innocence souillée. Une prostituée. Obligée de vendre son corps pour pouvoir manger, pour pouvoir payer le loyer de la misérable chambre dans laquelle elle tentait de vivre. Sa fille ? Elle n'a pas choisi de l'avoir, mais il aura suffit d'une négligence pour qu'elle ait le fardeau d'une enfant à assumer. Encore un de ces grocs porcs de clients qui refuse de prendre les précautions nécessaires. Mais on ne va pas s'attarder sur sa création [ Manquerait plus que je vous décrive ça ] ce n'est pas elle qui lui aura donné ce caractère.

    Gaby ne sut jamais qui était son père, quel genre d'homme il était. En réalité, elle n'a jamais cherché à savoir, elle s'en fichait éperdumment. De toute façon, sa mère n'aurait pas pu lui répondre, elle n'en savait strictement rien. Comme si elle allait se rappeler de tous les hommes qui lui étaient passés dessus. Le seul vrai problème, c'était de nourrir cet enfant, ce bébé, cette charge de plus.

    Et contrairement à ce qu'on voit dans les films, aucun gentleman ne vint l'aider ; les gens qui la croisaient dans la rue détournaient le regard de sa déchéance. Pour s'occuper de la chair de sa chair [ chair qu'elle a pourtant souvent partagée ], elle n'eu d'autre choix que de continuer à faire le tapin. Elle n'était ni la plus belle, ni la mieux foutue, devant se contenter de ceux qui payaient le plus mal, de ceux qui demandaient le plus. Et pendant ce temps, Gaby vivait, bercé par les gémissements ou les cris de jouissances que la fine cloison ne permettait pas d'étouffer. C'est élégant pour un enfant d'être elevé ainsi...

    4 ans : Les paupières closes, la respiration lente, la petite fille s'endormait lentement. Aucune mère pour lui conter une histoire, aucune voix douce penchée sur sa paillasse. Mais ce n'était pas grave. Le haletement rauque des deux amants lui suffisait pour s'assoupir. C'était comme ça tous les soirs, l'enfant était bercé par le souffle puissant de l'homme ou des gémissements grave de sa mère. Mais cette fois, la porte était ouverte et elle entendi distinctement le cri de l'homme lorsqu'il atteint l'orgasme. Elle sursauta brutalment, réveillée en sursaut, et tourna son visage poupon vers la chambre. A travers l'entrebaillement de la porte, elle apercevait les deux corps nu qui se mêlaient. Et jusqu'à ce que l'homme parte, l'enfant garda les yeux grand ouvert sur le spectacle qui se déroulait devant elle.

    Si je raconte ça, c'est pour donner une idée de l'atmosphère dans laquelle Gabrielle est née, cette atmosphère malsaine dans laquelle elle a grandi. Enfant silencieuse, elle s'était pris assez de torgnoles dans la tronche pour comprendre qu'il ne fallait pas pleurer, pas crier car ça dérangeait les clients. Alors elle s'est tu, mutisme glacial et surprenant chez une gosse de son age. Mais son silence était feint, car ce que les mots ne disait pas, son regard l'exprimait. Regard brut et dur, dans lequel commençait à se developper cette haine viscérale qui fera plus tard d'elle un monstre. Ce n'était qu'une amertume, mais c'est à cause d'elle qu'elle à commencer à mal tourner. C'est aussi à cet époque que ce sont installé les prémices de ce qu'elle est devenue.

    Encore au primaire, elle traumatisait déjà ses camarades de classe. Parfois aidée de quelques collègues plus agès, elle a cherché la merde et l'a souvent trouvé. Mais elle était fière, de cette fierté malsaine qui écoeurait les maîtres et maîtresses qui l'on eu en charge. Elle provoquait, balançait ses livres dans la classe, envoyait la tronche de ses voisins percuter le bois de la table, gravait à la mine du compas quelques insultes bien sentis. Peu à peu, elle à repris la parole qu'elle avait abandonné quelques années. Mais ce qu'elle disait n'était guère interessant, elle balançait des horreurs pour faire pleurer les gamins ou répondait à ceux qui essayait de lui imposer le silence.

    C'est dans ces années qu'elle commença à apprendre à se battre, seule ou aidée "d'amis". Un groupe de collégiens la pris sous leurs ailes, esperant sûrement la traumatiser, mais ce ne fut pas le cas. Elle prenait gout à leur délinquance. Certes, elle ne pouvait trainer avec eux, elle n'était qu'au primaire, mais parfois ils se retrouvaient et eux racontaient leurs méfaits. Et dès le lendemain, Gaby retournait à l'école.

    9 ans : La peau des joues et des mâchoires avait été arrachée jusqu'à l'os et lorsqu'elle lâcha son étreinte, il ne se releva pas, gardant son visage meurtri contre le bitume, baignant dans son sang. Gaby se releva satisfaite et laissa sa victime prostré sur le goudron. Mais elle ne jubila pas longtemps, la voix de sa maîtresse claqua dans l'air et cette dernière l'attrapa par le bras, la tirant jusque dans sa classe où elle l'assis à sa place. A aucun moment, le sourire sadique que l'enfant affichait ne disparut. La femme s'égosilla seule face à un mur d'indifférence triomphale, essayant de percer ses défenses en lui rappelant qu'elle avait encore redoublé, que c'était une bonne à rien. Lorsque sa tirade fut terminé, Gaby se releva, fit quelques pas vers le bureau de sa voisine et empoigna un ciseau - le sien avait été confisqué - et avant que la bonne femme ne puisse esquisser un geste de défense, l'enfant planta la lame dans sa main avec violence, la clouant au bois du bureau.
    Le lendemain, elle fut renvoyé de son école.


    Après avoir été renvoyé, elle ne remit plus les pieds dans un établissement scolaire. Sa mère était dépassée par les évenements, diminuée par ces années de galère. Gaby la méprisait completement, reniant quasiment cette femme qu'elle trouvait faible et vulnérable. Elle n'a jamais eu aucun sentiment de famille et detestait celle qui lui avait donné le monde autant que les autres. Non, plus que les autres, puisqu'elle la voyait chaque jour, et que chaque jour son dédain se faisait plus écrasant.

    C'est la période où elle s'investit réélement dans son apprentissage des sports de combat. Les heures autrefois passées à une table avaient été remplacé par celle passée au dojo. Seule activitée qui l'interessait. Elle se défoulait, et elle apprenait. Très vite. Celà faisait des années qu'elle y allait, et il fallut encore nombre d'autre année pour atteindre le niveau qu'elle a actuellement. Mais sa maîtrise devint excellente, jsuqu'au jour où elle dépassa le maître qui lui avait enseigné la totalité de son savoir. Alors elle quitta les salles pour la rue. Elle continua de se dépasser, mais c'est vers les lames que se portait son interet. elle perdit quelques acquis, mais ce fut au profit d'une habilité exceptionelle avec une arme à la main. C'est quelque chose qu'on apprend seul, se battre au couteau. Et elle réussi fort bien...

    Ces années de sa vie furent décisives. Elle n'avait pas 12 ans quand elle a abandonné le taudis insalubre qu'elle aurait du appelé maison. Elle ne vit sa mère que de loin, sur les trottoirs, mais jamais plus elle ne parla. Elle savait qu'elle venait d'enlever un grand poids à l'existence misérable de cette femme, mais ce n'est pas par compassion qu'elle l'avait fait. Pas gout de liberté et d'indépendance. Elle s'est rapidement insérée dans un gorupe - de toute façon, pour survivre, elle n'avait pas le choix. Elle trainait dans ces quartiers mal famés, coupe-gorge et fréquenté par tous les rebuts de la société. C'était crade, ça violait dans les impasses et ça vomissait sur les trottoirs. Atmosphère malsaine, lourde et irréspirable pour quelqu'un qui n'est pas du milieu. Quelques caïds qui organisait leur monde, la drogue qui tuait par overdose chaque jour un peu plus. Endroit miteux et abdonné, jachère de la société actuelle.

    Et c'est là qu'elle vivait, enfin dans un lieu qui lui ressemblait. Chacun défendant ses interet comme des hyènes qui se partagent une carcasse. C'était glauque, sanglant et il n'y avait aucun espoir. Pour personne. Mais elle ne marche pas à l'esperance de toute façon, au contraire, vivre dans une poubelle, ça à affirmait ses idéaux. Des gens qu'elle à croisé, peu ont retenu son attention. S'affirmant avec un couteau et un caractère bien trempée, elle réussi à grandir alors que tant d'autre ne pouvait que mourir. Les années passèrent, une vie toujours plus crade. Bien sur qu'elle fit de mauvaise rencontre, quand on vit là-bas, on n'est pas épargné.

    La drogue était un élément indissociable de la vie dans ces quartiers, ou plutôt de la survie. Se piquer pour continuer à avancer, euphorie relative qui redonner l'espoir dans des coeurs assècher. Bien être succint et télement éphemère. Comme beaucoup de fille, Gaby à finit par se prostituer pour avoir sa dose quotidienne. Se retrouver sur les trottoirs aux côrés de sa mère. Ce n'est guère glorieux, mais elle s'en fout, personne ne connaît son passé, personne ne pourra lui repprocher ici...

    16 ans : Pour dissoudre la poudre blanche, elle mit quelques gouttes de citron dans la cuillère, puis chauffa le tout à la flamme d'un briquet. Transferant l'ensemble dans la seringue, elle serra le garrot et trouva le creux du bras pour y enfoncer l'aiguille. Le flash fut immédiat. Elle perdit le sens de la réalité.
    Le son lui paraissait déformé, comme distendu, mais elle entendi les pas lents claquer contre le béton nu du sol. Elle savait qu'il viendrait, un vague sourire flotta sur ses lèvres et elle tourna la tête vers lui. Lui ? Un des rares dont elle tolérait la présence, un des rare qu'elle appréciait. Même si elle ne lui faisait pas confiance.
    Allongée sur le ventre, il était assis au-dessus d'elle. Non pas pour assouvir quelques pulsions masculine, juste pour céder à une envie de sang. Et de toute façon, Gaby était consentait, le côté mazo qui ressort d'elle. Alors la lame s'enfonça dans son dos, déchirant les chairs, traçant profondément, incrustant à vie dans la peau, le pentagramme renversé. Et Gaby souriait, la drogue l'empêchait de trop souffrir, et elle goutait au plaisir de sentir l'acier trancher les tissus. Et le sang coulait...


    Et tous les jours comme celui-là, danc cette crasse innomable, elle prit de l'age, oubliée momentannement par l'ordre publique. Elle a vu et vecu des choses qu'on ne mentionnera pas, sales. Mais ce serai trop long et inutile de s'éterniser sur la saloperie de vie qu'elle mena. Ce n'est pas grave, vous l'avez compris. Pourquoi elle manque si cruellement de valeur morale. C'est devenu évident.

    Puis la municipalité à décidé de faire des travaux d'assaainissement, et malgré l'hostilité des squatteurs, ils détruirent la quasi-totalité des bâtiment. Comme beaucoup, Gaby fut obligé de fuir. Alors elle prit l'avion. Pourquoi le Japon ? Et pourquoi pas après tout. Une amie japonaise qui lui avait fait connaître la langue, ce qui lui permettrait de se débrouiller. A son arrivée, elle chercha un endroit où vivre ; mais rien ne lui ressemblait. Attrapée par les autorités alors qu'elle mettait le feu aux voitures, elle se retrouva devant un tribunal. Très persuasive [ surtout au lit ], elle réussi à s'en sortir sans amende, seulement, elle fut envoyée au pensionnat ; pour refaire son éducation disait-on...

    ---

    ¤ Groupe désiré : Gueule de gothique, caractère de racaille. C'est bien d'être antinomique - -" Mais même si je n'aime pas le vert, vu la mentalité de la miss, je vais rejoindre les autres brutes du pensionnat.


    ________________________________________________________


    P.S. Un bonbon pour celui qui aura tout lu [ Me contacter par MP pour recevoir votre récompense ]

    >> Alors oui, il y a des parenthèses partout, et encore une fois oui, j'ai un humour de merde x) Enfin, parfois, c'est implicite et c'est plus dur à percevoir. J'ai écrit cette présentation en plusieurs fois alors les notes sont soit complétements conne, mais en général, c'est d'un cynisme et d'un sarcasme à faire grincer les dents. En clair, c'est un pseudo-humour que seule moi comprend [ C'est pas parce que c'est fin, c'est parce que c'est à mon niveau ]. Un peu d'auto-dérision, beaucoup de pointes acides et de cynisme amer. Faut prendre au second degrès, sinon on est mal parti x)

    >> Inutile d'en faire la remarque, je sais pertinemment que le formulaire ne convient pas. Enfin, ne convient plus serait exacte. C'est un ancien, j'sais pas combien de versions lui ont succédé. Mais ça fait un petit moment que cette présentation dort sur mon ordi, donc bon, pardonnez l'absence de mise à jour, les catégories principales sont là de toute manière.

    >> Ensuite, comme vous êtes quelqu'un de particulièrement observateur, vous aurez remarqué que Gaby à 19 ans. Et si en plus vous êtes perspicace, vous avez remarqué que l'age maximum est de 18 ans. C'est bien \o/ Hum, donc je m'explique quand même. Vu son assiduité au travail, elle a redoublé. Donc en étant en dernière année, elle à un an de plus que les autres. Enfin, j'ai calculé ça comme ça mais si il faut qu'elle rajeunisse, ça va pas me faire un deuxième trou au cul.

    >> Quand aux fautes d'ortographe, je sais qu'il y en a. Mais je vous expliques mon terrible dilemne. Soit je bouffe des patate ce soir, soit je maigris et je vais acheter Microsoft Word à 250 € [ C'est de l'arnaque totale X__X ]. Alors comme j'ai faim, je renonce à mon correcteur ortographique et je relit toute seule mon texte, avec pour seule base mes connaissances personnelles. Et puis, je ne vais pas m'amuser à corriger mon texte par 250 mots sur ceux gratuits du net, je ne suis pas arrivé. Donc je vous serai gré de passer outre.

    >> [ Comment ça encore une ? ] Cette denrière s'adresse nottament à l'admin qui va devoir ce frapper


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