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 Teuh teuh

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Shayde
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Shayde


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Amour : Je pourrais aimer mais je préfère haïr.
Date d'inscription : 05/02/2006

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MessageSujet: Teuh teuh   Teuh teuh EmptyLun 13 Sep à 13:40

<span style="font-size: 20px; line-height: normal;">PRESENTATION</span><br><div style="background-color: white; height: 2px;"></div><br><center><div style="width: 450px;"><span style="font-size: 11px; line-height: normal;"><br></span></div></center>
    <br><div style="background-color: paleturquoise; text-align: center;"><span style="font-family: Georgia;"><font color="cadetblue">« Informations Prioritaires »</font></span><br></div>


    »NOM : Naisvė [Avec un point sur le ė x) Mais comme c'est pas pratique, on va s'autoriser à l'écrire avec juste un e]

    »PRÉNOM : Liethva

    »SURNOM : Liet’ peut-être, mais en fait, les gens ne la surnomme pas vraiment. C’est pas comme si ça avait un quelconque intérêt, ou si une quelconque personne voulait lui montrer une quelconque marque d’affection.

    »ÂGE : 17 ans.

    »ANNÉE : Septième et dernière.

    »DATE & LIEU DE NAISSANCE : Londres, sa mère a quitté Vilnius depuis de nombreuses années. D’ailleurs pour cette raison que Liethva est à Poudlard et non à Durmstrang. Elle est née avec le nouveau millénaire.



    <br><div style="background-color: paleturquoise; text-align: center;"><span style="font-family: Georgia;"><font color="cadetblue">« Un peu plus sur vous »</font></span><br></div>


    »HISTOIRE : Naisv&#279. Le nom n'évoque rien pour des jeunes anglais, mais il fut autrefois auréolé de gloire dans les pays baltes. Une grande famille de sang pur dont l'influence avait connu un sommet au XIXe siècle avant de s'effondrer lentement. Aristocatie hautaine qui se meurt lentement, dont le pouvoir agonise en quelques soubresauts sauvages, comme une dernière volonté de lutter. Ce qui avait si bien commencé se termine dans la décadence. A l'aube du XXIe, il ne reste qu'une poignée de personne à porter ce nom, disséminé à travers le globe et ayant perdu tout le panache que leur noblesse aurait dû leur garantir.
    Aldona, sa mère, était une femme lasse et ternie, autrefois belle mais usée, les yeux gris et les épaules veules. Comme si elle portait, dès sa jeunesse, le poids d'une existence épuisante, destructice, dont l'emprise la rongea lentement et sûrement, jusqu'à extraire toute forme d'espoir et de vitalité. Fuyant la misère et un pays traditionnaliste, Aldona quitta la Lituanie vers 20 ans, abandonnant les derniers vestiges d'une famille ravagée par les vices, l'endettement et la rancoeur. L'espoir d'une vie meilleure s'effaca néanmoins bien vite, Londres ne lui offrant que ses pavés, sa morne désillusion, et l'hostilité d'une ville égoïste et souffrante. Les étrangers n'ont jamais été les bienvenues, et l'absence de richesses, de talents et de connaissances perdit très vite la jeune femme, arrâchée à l'isolement culturelle de sa terre baltique pour les remugles harassants d'une société active et intransigeante.
    Seule la crasse hospitalière d'une marginalisation forcée lui ouvrit les bras, acceptant généreusement de partager sa boue et de faire peser son fardeau sur une nouvelle paire d'épaules. Aldona tenta quelques mois de survivre honorablement, acceptant l'ingratitude de chaque misérable boulot qu'elle pouvait trouver, mais quelques ménages ne lui permettait pas de vivre décemment, ni de s'offrir un toît sous lequel loger. Rapidement, elle finit comme toutes ces immigrées des pays de l'est, à vendre son corps sur les trottoirs sales des 'Redlight Districts'. Prostitution rance, nauséeuse et cruelle, qui refusa dès lors de retirer ses tentacules de la jeune femme déjà brisée par la vie.

    Une capotte qui craque, ou un client qui refuse d'en mettre ; coup du destin qui voulu qu'Aldona porte une enfant non désirée, d'un père inconnu. L'IVG se trouvant hors de ses moyens et la nature lui refusant la fausse couche salvatrice, elle se trouva avec un bébé à charge ; charge qu'elle était loin de pouvoir se permettre. Passons les soucis de loyer, de travail, de nourriture - souvent pillée dans les poubelles - et les contraintes qu'un nourisson pouvait entraîner ; mais ne nions pas qu'elle minèrent Aldona jusqu'à ne laisser d'elle qu'une ombre, une esclave de cette enfant à laquelle elle n'arrivait pas à donner d'amour.
    L'enfance de Liethva se passa dans l'aigreur et la négligence, le silence imposé par la violence d'une mère à bout de toute résistance psychologique et morale. Un foyer dépouillé, malsain, qui ne lui laissait pas l'occasion de s'épanouir. Renversant les trois cycles de son developpement psychologique, elle bâcla un complexe d'Electre qui lui laisse encore maintenant de douloureux troubles ; l'absence de l'image paternel remplacée par celle les clients de sa mère n'entâchant que plus profondément sa relation envers les hommes, et plus généralement, l'Homme. Isolée dans l'exiguité du studio miteux que louait péniblement sa mère, l'horizon à peine élargi lorsque cette dernière daignait la sortir, et tenue fermement à l'écart de toute autre relation humaine, sa conscience, ainsi le fardeau moral et réfléchi qu'elle implique, fut définitivement marquée. Ses séquelles comportementales qu'un naïf appelerait folie trouvent leurs racines à cette enfance déchiquetée et sacrifiée.
    L'age de raison, et de compréhension, aux alentours de ses sept ans fut aussi celui de la découverte de ses pouvoirs. Sa mère n'avait pu la retenir définitivement entre les quatre murs de l'unique pièce et l'enfant découvrait progressivement depuis quelques années ce que signifiait le "monde". Cette vie grouillante qui se répend dans les rues au matin, et ne se couche que tard la nuit, qui parle, échange, crie, hurle, rêve, détruit. Dont chaque battement convulsif rythmait le coeur d'une ville immense et majestueuse, reine financière aux fondations rongées par la misère. Et c'est cette misère que croisait Liethva, qu'elle ingurgitait, dévorait et digérait, enfant silencieuse dont les errements furtifs cessèrent d'inquiéter les habitués lorsqu'ils comprirent qu'elle n'était qu'aux prémices de son installation dans cette crasse, que son visage se stigmatiserait jusqu'à ce 'qu'enfant des rues' soit plus qu'une réalité, mais une caractéristique inhérente à son être. Débrouillarde, vive et rusée, trois qualités sans lesquelles la rue l'aurait engloutie et qui lui permirent de se trouver une place auprès de ceux qui avaient déjà volés la leur.
    Mais inhérente à la vermine misérable de ces quartiers de laissers pour compte, le danger. Cette peur viscérale, à la nuit tombée, de tomber dans un traquenard, de devenir une proie pour ces marginaux désoeuvrés qui assouvissent pulsions de mort sur le malchanceux de passage. Et un de ces soirs où Liethva avait trop traîné, la rencontre inévitable. Ils étaient jeunes, avinés et titubant, mais la lueur mauvaise au fond de leur prunelle suffisait à terrifier l'enfant qui détala. Plus rapide que ses poursuivant, elle était néanmoins saisis d'une telle panique qu'elle trébucha plusieurs fois à terre, perdant toute l'avance qu'elle peinait à gagner. Et alors que l'angoisse menaçait de la faire céder, le temps sembla se figer autour d'elle. Ceux qui la coursait s'étaient arrêtés en plein mouvement, les rideaux avaient cessés de remuer sous le vent. Les quelques instants que dura cette magie lui donna l'avance nécessaire pour leur échapper, et la laissa épuisée au seuil de l'appartement.
    Elle connaissait déjà la notion de sorcellerie, ayant vu sa mère en user, mais cette dernière, peu douée, ne l'avait jamais impressionnée. Elle avait associé ses maigres capacités à un don, et n'avait jamais eu le courage de se renseigner, de peur de gaspiller la patience très limitée de cette dernière. Ce soir là, les deux filles parlèrent comme jamais elles ne l'avaient fait, partageant ce qui s'approchait au plus près de la complicité. Et Aldona lui expliqua tout. Qu'il n'y avait pas qu'un monde, mais que se mêlaient aux 'moldus' les sorciers, et que toutes deux, s'ils étaient exclus de leur société, en faisant néanmoins partie. Longuement, elle la renseigna sur l'histoire, sur sa famille, sur la Lituanie, sur l'importance du sang, et sur tout ce dont jamais l'enfant n'avait entendu parler.
    Ce dialogue nouveau et salvateur la changea profondément, mais fut également le début des quelques seuls mois qu'elles passèrent en harmonie. Enfant déscolarisée, c'est Aldona qui lui appris à lire, écrire et compter, lui donna quelques notions d'histoire, de magie, et de tout ce que son aprentissage à Durmstrang lui avait laissé, soit un enseignement décousu, formé de connaissances éparses de plus ou moins bons augures. Ce fut néanmoins ces seules bases qu'avait Liethva en entrant à Hogwart, et elle n'était pas peu fière de parler de magie noire, bien qu'ignorant jusqu'aux bases même de la botanique.

    Ce fut une gamine qui fila d'un mauvais coton, comme disent encore les gens. La très relative entente avec sa mère s'étiolant, elle passait majorité de son temps dans la rue, et cette dernière n'est pas réellement une bonne éducatrice. Se joignant à quelques groupes d'enfants épars, ces derniers souvent encore plus rejetés et abandonnés qu'elle, son réseau social se tissa enfin, composé de ce qu'une personne décente aurait appelé 'mauvaises fréquentations'. Des ramassis de gosses orphelins, éduqués par quelques caïds ou rebuts junkies, se mêlant dans les squatts aux clochards ivres et aux artistes marginaux et exclus. Une sorte de mixture humaine répugnante et malsaine, qui excerçait sur son jeune esprit une fascination totale et dévorante.
    La seule chose qui la passiona jamais, ce fut cet aspect de l'homme, cette face sombre et ravagée. L'être dans sa déchéance, dans sa folie et sa laideur ; laideur si infâme, si atroce, qu'elle dépassait par son intensité toute beauté.




    »CARACTÈRE : Le plus intéressant...

    »APPARENCES PHYSIQUE : On ne peut pas dire que Liethva soit belle. Elle n'a pour seul avantage qu'un charisme écrasant, malsain mais puissant. C'est une fille qui par sa seule présence en impose, qui dégage une impression altière de puissance. Pas vraiment de charme, ou seulement métaphysique, car son âme est laide et son corps ne réussit pas à éffacer cette impression. Elle possède néanmoins un certain éclat, mais antinomique de toutes ces filles considérées comme jolies, ou mignonne.

    Liethva, c'est une silhouette en fil de fer. Des courbes certes généreuses, misent en valeur par un déhanchement naturel ou une tendance à cambrer le dos, mais un profil sec et acéré. Elle a un visage aux traits durs, taillés à la serpe, des pommettes hautes qui accentuent un air méprisant et froid. Ses cheveux d'un chatain tirant vaguement sur le roux, lui retombent dans le creux des reins, visiblement négligés et abîmés. Mais ce qui attire irrésistiblement l'attention, ce sont ses yeux. Non pas pour leur coloration sombre, très quelconque, mais pour le magnétisme qui s'en dégage. Un regard sombre et agressif, dur, méprisant et glacial. Acéré, il laisse souvent une impression de malaise, une sensation amère à l'esprit.
    Car au-delà de la description physique, une personne se caractérise par ce qu'elle dégage. Et la fille n'est que haine et suffisance, dégoût et agressivité. On le sent, on le ressent ; c'est quelque chose qui ne se voit pas, mais qui percute l'esprit, qui s'inscrit dans la cervelle. Bref, je m'égare et oublie la description physique... Plus grande que la majorité des filles, elle accentue cette impression par le port quasi-perpétuel de talons. Mince mais musclée, elle possède un corps souple dont la peau abîmée est marquée de cicatrices et de tatouages. Peau qu'elle a d'ailleurs très blanche, blême, presque exsangue. Pas une pâleur qui fait ressortir la pureté, mais un teint blafard et maladif qui souligne le maquillage excessif de ses yeux et fait ressortir leur éclat acéré.
    En résumé, une fille qui pourrait être belle, mais qui ne l'est pas. Et qui compense ce manque par un charisme écrasant, un port altier qui lui confère le magnétisme d'une aura malsaine mais saisissante.

    »PATRONUS : Sombral

    »MIROIR DU RISED : Le miroir ne la refléterait pas.

    » CARACTÉRISTIQUE SPÉCIAL : Pas besoin, elle est déjà assez spéciale sans avoir besoin de caractéristiques supplémentaires.




    <br><div style="background-color: paleturquoise; text-align: center;"><span style="font-family: Georgia;"><font color="cadetblue">« Vous et la réalité »</font></span><br></div>


    »PSEUDO : Hum, non, pas vraiment. Je n’en utilise plus.

    »ÂGE : Peu importe, après tout.

    »AVATAR : Mary Mayhem

    »COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Par un top site, il me semble. Ou en vaquant de liens en liens.

    »UN PETIT MOT POUR LE STAFF ? Sympathique forum =)

    »CODE : Mobidic




    <br><div style="background-color: paleturquoise; text-align: center;"><span style="font-family: Georgia;"><font color="cadetblue">« Groupe »</font></span><br></div>


    MAISON SOUHAITÉE : Serpentard, pour des raisons évidentes je crois…

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